A l’heure du local, des produits régionaux, je souhaitais mettre en exergue la pratique de la macrophotographie. A quelques mètres de votre canapé, vous attend un voyage aux multiples rencontres. Pour cela, il vous suffit de vous coller derrière l’oeilleton de votre reflex armé de son objectif macro. A quatre pattes dans le gazon, des sujets par milliers et des images improbables vous attendent. Je vous propose ici mon album de voyage. La destination : les 300 m² de terrain qui bordent ma maison. Comme quoi, « Il faut cultiver son jardin » (je sais, citation candide).
Matériel utilisé : Canon EOS 40D ; EF-S 60mm macro ; jeu de tubes allonge Kenko
Bonjour, très jolies vos photos j’adore !
Merci 😀
Je découvre cette superbe série. J’aime beaucoup cette manière de couper franchement le sujet afin de n’en garder que l’essentiel.
C’est graphique, coloré, très beau quoi …
Merci beaucoup Véro. C’est ma manière de photographier en macro mais je me prive parfois un peu trop de l’environnement qui pourrait ajouter une belle ambiance au sujet.
J’aime vraiment le caractère très pictural de certaines images de la série, avec des couleurs qui me plaisent beaucoup également. Ça donne vraiment envie de se mettre à la macro, car j’ai toujours bien aimé les petits détails. Un jour j’achèterai peut-être l’objectif adéquat.
J’aime bien aussi l’idée qu’il n’est pas la peine d’aller loin pour faire de belles photos. J’ai déjà vu des images de tambour de machines à laver vraiment sympathiques. Je serai triste si je n’avais pas pu ramener de clichés de mes voyages en Chine, mais j’aime bien essayer, avec mon très modeste niveau, de prendre des choses du quotidien. Feuilles, lampadaires, trucs qui traînent chez moi…
Bref, merci pour l’article 🙂
Moi aussi, ça me ferait mal de ne pas ramener d’images d’un voyage mais de là à faire un voyage pour faire des photos, il y a une nuance.
Merci pour ton commentaire, il va dans le sens du message que je voulais faire passer et me fait très plaisir.
A bientôt Tchou.
Un bon exemple illustrant parfaitement qu’il n’y a pas besoin d’aller à l’autre bout du monde pour faire de belles photos
C’est bien l’idée que je voulais véhiculer. Pas besoin d’aller courir le monde ou d’aller traquer un harfang des neiges pour faire de beaux clichés.